Nous étions arrivés 10 minutes avant la fermeture des enregistrements pour notre vol de Miami à Bahamas. 

Le vol Miami-Bahamas a été le plus court et le plus agréable que je n'ai connu. Il a duré tout au plus 35 minutes et j'ai pu observer les récifs des Caraïbes et la mer d'un bleu lagon miroitant. 
A notre arrivé, nous avions été accueilli par un sympathique pirate, qui vociférait et nous interpellait. Nous avions joué Au jeux et nous avions fait mine de nous retrouver en plein milieu d'une scène recombolesque, pour la caméra. Je me faisais tirer les cheveux, pendant que je prenais au col notre pirate et qu'il menaçait mes amis d'un revolver en plastique. 
Libérés de notre pirate, nous fûmes accueilli cette fois de façon plus pacifique par des chants caraïbeens.

Bahamas. Nous avions luté pour te voir, entre une journée perdue à New York pour obtenir un visa à notre petite Dada et quelques espoirs gâchés. Car non, le sable rose, ce n'etait pas pour cette fois. 

A la place, nous voyions des plages un peu plus communes, mais dont l'eau formait des éclats au contact lumineux du soleil.

Dès mon arrivée dans cette terre Caraïbeenne, j'ai ressenti un apaisement total. Les gens étaient calmes et serviables. Ils protiguaient des conseils de lieux à visiter et étaient particulièrement disponibles. Le voiture qui nous avait conduite à l'hôtel formait des bruits inquiétants, à l'arrière. J'observais avec émerveillement le paysage maîtrisé de Nassau. Entièrement aménagé et constituée de palmiers sur la route. Puis au centre de Nassau, de maisons de pêcheurs charmantes de couleur pastel rassurante. 
Depuis notre voiture, j'appercevais la mer magnifique et d'un bleu turquoise irréel. Et j'avais envie de m'y plonger toute entière, encouragée par la chaleur éblouissante mais supportable de l'atmosphère.